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Etoiles d'encre et de papier
10 juin 2013

Le passé ne peut rester indéfiniment secret...

Une couverture en noir et blanc qui attire l’œil mais laisse à penser qu’il s’agit d’un livre d’amour à l’eau de rose. Il faut se faire violence et lire le synopsis pour réaliser qu’il n’en est rien.

 

Telle est la magie de Robert GODDARD.

 

Une écriture à couper le souffle, une intrigue qui maintient éveillé même dans un train en retard de plus de 45 minutes, même quand on sait que le lendemain on aura du mal à se lever et à garder les yeux ouverts.

 

C’est une histoire simple aux premiers abords : une mère qui confie son passé, son histoire, à sa fille. Elle lui raconte tout : que son grand-père n’est pas celui qu’elle croit, que son enfance fut horrible à cause de sa belle-mère et ce malgré le sang noble et anglais coulant dans ses veines. En fait, tout n’est que conspiration et tout commence par une annonce d’une grossesse apparemment adultère : le mari est mort au front 3 mois auparavant et la femme est enceinte… avec un mois de retard !

Et pourtant cette simplicité cache un mystère épineux et il faudra attendre presque 80 ans pour qu’il soit complètement résolu, par les révélations de cette mère à cette fille.

 

Et le mystère reste entier jusqu’à l’épilogue ! Et c’est ça qui est intéressant, qui fait de ce livre une merveille, un enchantement littéraire où, pour la première fois, tant les sentiments des personnages que du lecteur comptent autant que l’histoire en elle-même.

 

Ce livre, c’est Par un matin d’automne, de Robert GODDARD.

 

Allez, je retourne à mes étoiles d’encre… et de papier !

 

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